Comment Léonard devint scie?

 

Thèse de feinte d’étude au Collège de Pataphysique : Comment Léonard devint scie ?

 

Nous connaissons tous l’adage qui n’a pas d’âge (c’est l’apanage de la vieillesse en empannage vers la panade) selon lequel c’est à force de scier que Léonard devint scie. Il le devint, on le devine sans être devin, non par la grâce divine mais le devint de vin en vin à force de scier saoul en vain, sans dessus-dessous, dans le sens du sang va sans dire.

De Vinci avait dans un pré un atelier (un prêt) si près de six cyprès à palombes en nombre, à ceci-près qu’il faisait sombre à l’ombre. Un jour qu’il est plein, il s’en plaint tandis qu’il peint une scie, assis comme il sied à un peintre rassis qu’on peut plaindre. Légèrement infléchi sur les fessiers durcis tandis qu’il réfléchit pendant qu’il chie, il décide de ne pas se faire chier et de les scier pour faire une éclaircie en un éclair, bien d’équerre mais non déclarée.

Sans souci que, des prés scier les arbres puisse déprécier la valeur du pré selon lui et l’huissier, et lui valoir la visite des policiers, voilà notre justicier qui se saisit d’une scie d’acier d’assez bonne taille et tel un terrassier sur ses échassiers, de sa scie raccourcit sans les gracier les cyprès endurcis. Et tant qu’à y être, il scie aussi les hêtres, les haies qu’il hait ainsi que six ifs incisifs, sans s’en faire une montagne car on ne peut imaginer six ifs heureux, où alors en mythe à la limite si on imite en certains termes les termites miteux limitrophes.

Il scie deux bouts debout, puis adouci il s’assied comme un épicier négociant pour apprécier son travail de nigaud sciant sans péripéties ni soucis une éclaircie dans la coursive. Il scia vite, mais précis sans se préciter et sans pitié, sans merci pour les cimes millésimes, sans cible, sans civisme sensible, sans simagrées malgré sa sinistrose de voir s’irradier une scie si radieuse, une scie lustrée qui s’illustrait par magie (c’est une image d’hommage aux dommages) sans simuler des râles, de façon sidérale six des rangs de cyprès si dérangeants que ce fut sidérant, et à peine rentable pour faire une table portable potable pour l’étable.

Hélas de Vinci était si rincé des reins qu’il but trop. De retour à l’atelier, il trouva sa scie si terne qu’ayant bu une demi citerne, il en fit une scie rose. Et continua, ce fat au sale faciès, ses facéties : il peint tout, les meubles, les outils, il peint les sapins et même sa pine sans peine, qu’il peignait sans la peigner, sans qu’elle se plaigne d’être peinte en pente dans la soupente quand il était pinté.

Et ainsi une scie fit son bonheur de bonne heure. Il scie tôt et il scie tard, si tard qu’aussitôt il scia une cithare que sitôt on cita dans la cité sans nécessité ni cécité, assis à terre en rêvant de Cythère, si terre à terre qu’il était occis aussi par le silence : il scie l’anse de la scie pour en faire une épée-scie qu’il épaissit pour aussi percer comme tout père sait en persévérant, épée vétuste revêtue d’un revêtement bêtement mi-graineux mi-gratteur, bien mate et plate car d’après mes deux seins l’effet plat c’est beau. Dans cet univers ranci, il rend scie tout ce qu’il trouve, et c’est assez réussi. Il réhausse ou raccourcit, ce qui l’endurcit et l’amincit.  Des scies lisses qu’il polit d’un mélange de silice de Cilicie qu’il importe ici en Vénétie quand il est en veine aussi. De Vinci d’une lame super fit scie tout acier bon à scier toute superficie. Toujours en silence, le bruit lui tapant sur les tympans, ce filassier fit aussi six lances, et après assez d’essais se lança dans le métal. Et vit « métal » solide tel un roc comme une forte métaphore de la vie qu’à son avis serait « more », un petit plus qu’il fredonnait en tapant sur une amphore, en cet an fort enfin meilleur pour son empire anémié et suranné.

Mais si taire ceci lui bénéficie, alors il faut le dire de cette activité tertiaire : cet homme émacié aima scier comme un carnassier ainsi que le prouve ce récit concis pas si con. Sans discernement, il se mit à tout scier malgré la sciure qui le faisait tousser. Il sciait tout ce qu’il touchait. Une fois dans son atelier initié, il n’y sciait pas tout mais presque dans notre galaxie : il officiait comme un artificier, ce pauvre maléficié. Il était si précis qu’il scia le châssis d’un taxi, mais paresseux il ne scia pas l’essieu, ce qui peut paraître fainéant feignant le fait néant ; la légende veut qu’il ait raccourci un cuirassier, mais je pense que l’on a confondu ce con fondu avec du cuir à scier : n’exagérons pas ainsi ce que l’on apprécie, de peur de sentir le roussi ! L’histoire en serait noircie, si en exagérant les exégètes jettent le doute que l’on redoute en ce mois d’Août !

Avec sa chienne Lassy, il passe sa vie à l’atelier sans l’atteler. Lassy aboie ? Il l’assied sur l’acier par terre pour la faire taire l’affaire, sinon il l’assoit soit sur la soie soit sur la sciure, ça va de soi, sur un sol terreux et il est heureux, il rigole. La scie mit l’hilarité entre eux tellement ils étaient semblables sans blague, assimilés car la scie mit l’air dans l’aire de jeu de Lassy et ce pauvre hère à l’ère où il était malvenu de travailler le cul à l’air ! Car oui, de Vinci était naturaliste mais aussi naturiste. Oh, on sait ce que l’on insinue d’un homme travaillant ainsi nu, mais non, sans s’immiscer on voit tout de suite et l’on peut s’y fier sans persifler que c’est pour s’identifier à Lassy, chienne ténue pleine de retenue, qui était née nue évidemment, sans fard dans les nénuphars que Vinci portait aux nues sans y être tenu. Ne soyons pas niais, on ne peut pas nier qu’il ne faut pas tout mettre dans le même panier : Vinci était philosophe pas zoophile ! Notre savant omniscient ne sciait pas toujours à bon escient, avec son bonnet ; il avait eu bon nez, patient de flairer une passion qui affleurait et de s’y adonner en fidèle abonné, sans jamais l’abandonner, sur un banc donné mis au ban par on ne sait quel forban pas sage de passage.

D’ailleurs sa bonne réputation devient mondiale : lassée de la vie russe pour laquelle elle n’a plus le virus, la rusée Sissi lui rend visite. Pour la Joconde elle servit servilement de modèle, pourtant pas un mot d’elle dans les musées, pauvre muse amusée à l’âme usée ! Sissi lui offrait sans frais six scies fraîches qu’elle avait laissées en friche, mais on s’en fiche ce n’est pas fâchant tant qu’elles fauchent, ce qui avec les vingt scies de Vinci fait vingt-six scies ce qui est épatant, même s’il n’en souhait pas tant en patente, car sa tante Félicie en partant, le sachant tenté et pour le contenter lui en avait légué autant, au temps où il était jeune. C’est un fait licite et il s’en félicite, car c’est parfait par fiducie.

Même le grand Haïlé Sélassié, le voyant seul à scier, vint lui prêter avec intérêt main forte. Haïlé sait l’acier car il l’a scié moult fois, parfois par foi en la cartomancie parfois par plaisir à saisir dans ses loisirs oisifs. L’officier Sélassié lui fit scier ses lacets entrelacés dont il était lassé, à même le sol, sans dalle, ce qui fit scandale en Ethiopie, et tant pis ! Il le remercie car après scier ce qu’il apprécie le plus, c’est de se distancier de ce qu’il associe à l’autarcie dont il bénéficie et dont sa vie est farcie en force.

Pendant des années, Vinci et Lassy sont heureux, la scie va et vient, il la flatte de sa flûte, la scie flotte et il sifflote tandis que Lassy siffle sa flotte. Mais la scie c’est du boulot, il en a plein le ciboulot, et bientôt sa santé se dégrada, entre cirrhose et sidérose, maladie due à l’inhalation de poussières d’oxyde de fer contre laquelle il n’y a rien à faire, rien ne l’éteint pas même l’étain. Les sidéroses provoquaient ses idées noires, et il tomba en dépression. Sa dévote voisine, pour le voir gai et rire dans l’espoir de guérir, lui apporta une statue de la sainte vierge, sorte de Madone « new age » faite de morceaux de chutes de tuyaux PVC de récup. Il la soupçonnait de le courtiser sous son nez, mais il préférait rester seul car avec l’esprit inventif qu’il sécrétait ses procédés étaient top secret. Il se disait que moins une fille en sait moins elle risque de finir en fiancée, c’est plus finançable qu’une poupée de terre ou fille en sable qui sait se taire, et puis il n’en avait rien à cirer d’elle et sa raie serrée acérée qui ne serait pas assez aérée. Cette poupée avait tout du toupet, et faire de la prose aux poupées, c’est de la prosopopée, une monade nomade. Tu peux bien m’attendre, ma tendre !

Il remercia Marcia la voisine pour l’aide mais il la trouva si laide (la statue, pas Maria qui n’était pas si moche avec ses miches, sa mèche qu’elle mâche et ses doux cils dociles) que dans une furie due à l’alcool, il la colle dans un coin et la découpe avec la scie miniature qui est devenue sa signature. Il n’y avait pas de marques déposées à cette épique époque opaque, où l’on piquait tout sans tiquer ! Des faussaires copiaient ses idées et ses scies estampillées étant pillées, il avait sans les sous de ses scies des soucis de fin de mois. Il les aurait volontiers occis ou noyés en tas dans l’étang étant dans cet état tout le temps ! Ces fausses scies le rendaient marteau et le réduisait à l’état de fossile. Sa rage était aggravée par le fait que cet homme à la morale élastique hélas tique à la moindre mention de la place du plastique ! Il est allergique à ce matériau que pourtant il maîtrise mais qu’il méprise. Alors il découpe la statue, il lui cisèle les ailes avec zèle, et la demoiselle est en morceaux parce qu’il en avait marre, ce sot qui pue le puceau ! Lassy l’assiste malgré la cystite, pas laxiste au sortir de la sieste, et y met quelques coups de crocs mignons et la statue dans le néant détale, tout cela devient de la préhistoire.

Or un autre voisin dévot, venu s’occuper des veaux dans un pré dévolu à cet effet, le vit par la fenêtre sans volet et fit naître la rumeur volée que Vinci était païen, iconoclaste, adepte du blasphème en plus d’être réputé pour sa basse flemme, sans qu’il n’y paraisse ni qu’il nie paresse, toute assumée pour les assommer de son mépris jamais pris en défaut de faux. Imaginez dans cette Italie, à cette époque si croyante : Vinci scie l’icône en plastique ! L’affaire fut rendue publique de façon peu pudique dans la république, ébruitée par un notaire notoire aux autorités qui vinrent arrêter l’invincible Vinci devenu cible du divin.

La possibilité qu’on avançât que Vinci soit évincé de l’Eglise, sa probable ex-communion provoqua un choc qui l’électrisa, générateur de grande tension pour un homme ayant agit sous l’emprise avec tel style ampoulé qu’il en perd ses moyens, fait volte-face pour court-circuiter l’affaire dans son jus, tout cela des siècles avant l’électricité, c’est dire à quel point c’était un visionnaire de génie, si vil soit-il ! Pour cet âne à thèmes, l’anathème à terme pouvait provoquer une crise en termes de haut débat dans les thermes d’Athènes.

Il en fut tellement blessé qu’il songea à devancer la sentence et se convertir à une autre religion, l’Islam de-ci de-là lui passa par la tête, puis il optera pour la Thora et le Judaïsme. Il signe même quelques formulaires en ce sens, mais voyant le rabbin arriver avec des ciseaux, il eut le prépuce à l’oreille et prit ensuite la fuite. Cette anecdote est souvent citée comme un signe d’antisémitisme. Mais à trop citer comme atrocité cette réaction, on l’a dénaturée. La perquisition à son domicile dans le cadre de l’affaire si conne de la Vierge en silicone n’a mis à jour aucun document fallacieux. Tout juste a-t-on trouvé de la naphtaline dans ses placards pour l’accuser de geste anti ses mites ! De plus, Vinci utilisait ce produit qu’on croyait efficace en ce temps contre les poux. Des poux laids qu’il essaya séant de transformer en poux sains quand ils apparurent dans la parure dans sa perruque, car il avait un crâne d’œuf !

Le procès se déroula peu après, et eut pour effet de l’anéantir pour l’année entière. Il trouvait absurde et con d’être damné et condamné pour sévices sur du plastique après avoir pété un boulon et avec un avocat qui ne valait pas un clou, il était loin de la levée d’écrou ! Mais bon, il s’était fait serrer, et se serrement lui fit prêter serment de ne pas rouler des mécaniques comme le mec à Annick qui s’était retrouvé dans le caca dans un pareil cas : il avait détruit des truies, caca classique de la faune éthique que les saints taxent d'un tribut attribué à l'attribut de la tribu du sujet en complément direct de leurs objectifs hâtifs !

Ayant peu de chances d’être libéré sur parole, cet homme têtu s’était tu. On s’évertua à lui dire que cela tua sa défense, mais resta coi sans trop savoir pourquoi. Quand il en comprit le prix, il prit l’attitude inverse. Il fallait les interrompre dans les éléments à charge, raconter des salades avec son avocat qui ne valait pas un radis et lui courrait sur l’oignon, arrêter d’être soupe au lait, leur avouer n’importe quoi à ces fêlés, même des faits laids. Par laids, il entend parler de sa passion. Scions, scions, argumente-t-il, car il sait que rester si lent, si silencieux ne lui vaudra pas d’être gracié pour avoir scié dans le gras. Au contraire, à rester là à faire les yeux doux, il risque les cieux car on lui susurre sans censure qu’en un sens sûr son cas est chaud, il risque le cachot pour ses cachotteries puis l’échafaud. Etre irrévérencieux est tendancieux et pernicieux si eux le prennent mal. Il risque même la guillotine s’il est coupable, lui qui a tant coupé, il n’y coupera pas, ce qui ne fait que décupler sa peur de se faire découper, alors il y va, équipé de son couplet complet qui plaît aux cons. Un bourreau un peu bourré arrive à la bourre comme un robot, lâche un beau rot raboté au rabais, et commence à lui labourer le dos à coup de fouet pour lui faire cracher ses aveux. Mais il sait qu’avouer serait voué à l’échec et de plus les chèques ne sont pas admis pour la liberté sous caution sauf en cassation des cas sociaux. Il ne sort donc pas son carnet car né sous une bonne étoile incarnée par le Sagittaire, il s’agit de taire sans s’agiter tout en continuant de causer pour ne pas être mis en cause. Même des foutaises que les fous taisent enfin aux enfants, et qu’aussi les parents taisent, entre parenthèses.

Puis on le plonge dans une barrique, menaçant de le noyer sans l’amarrer, en plus à l’heure de la grande marée, juste pour se marrer et avoir quelque chose à narrer. Au moment où ça démarre, il se pisse dessus, une vraie mare, qu’heureusement personne ne voit. Inspiré par Jules César et ses arts, il aspire à sa propre devise qui divise sans dévisser et trouve sans gant son slogan sanglant : Veni, Vidé, Vessie ! Et il en remet une couche, un vrai cauchemar, il souffre et perd son souffle et d’émotion lâche une série de pets qui font des bulles et déboulent en boules du fond du fion. Il étale ses pets pâles (transfert sécurisé sans en être la risée arrosée) tels des pétales étales de pédale qui détallent sur les dalles sales dans le dédale de ce qui fut son fute dans le fût. Il demande la clémence, qu’il mendie des mandibules menaçant ce soir de choir de leur perchoir. Il se fait traiter de con, car d’après eux il y a con s’il y a bulles, débattent-ils à voix basse. Le coup des pets dans l’eau est jugé, comme tout pet, comme du toupet, magistral outrage à magistrat, et il écope d’une amende. La coupe est pleine !

On insistait : Reconnaissez-vous les faits ? Il répondit que oui, il savait reconnaître les fées, en effet, la fée Line, la fée Lure, la fée Roce, la fée Tiche, ainsi que leurs attributions : la fée des râles et son rôle de contrôle pas drôle, la fée des rations, passant sous silence la fée Condation et sa préférée, la fée Lation. Cela eut pour effet de renforcer leurs accusations de superstition et de paganisme.

Ce n’est pas moi ! La statue a été grignotée par des rongeurs ! C’est les rats ! Scélérat ! lui répond le juge ! Et il sourit car la souricière commence à se refermer sans sourciller, ce qui fait vaciller Vinci vaincu et pas convainquant. C’était un accident ! plaide-t-il. L’argument, aussi futile fut-il, ne marche pas, mais notre héros de haute futaie s’en foutait dans son fut qui avait fuité, ce qui n’est pas très futé ! Le juge lui rétorque d’un œil torve de larve ivre : Et les dents de scie, c’est un accident ?

Hélas, l’enquête décidément démente démentait la quête de Léonard. Car elle avait fait circonscrire le périmètre, et la cire qu’on scie, sciemment ou inconsciemment, laisse des traces de dents et dehors des sciures, ce qui donne des sueurs froides à l’accusé qui s’est usé le cul à nier comme un niais rancunier pour finir excommunié !  Comment taire les commentaires des juges, on se serait cru au Moyen-Orient tellement en riant, s’excitant comme des Occitans, ils orientèrent le débat en le prenant de haut et émirent des propos insultants tels qu’un émir ou un sultan dépité les aurait fait décapiter sans pitié. Finalement du haut de sa vindicte le procureur dicte le verdict : le Sieur Vinci, connu pour être un beau scieur bosseur, était évincé de l’Eglise et condamné au bagne à Aubagne.

De Vinci devint si pâle qu’il manqua de s’empaler sur sa scie sise là où il était assis tels qu’ils siéent, tant son cœur s’emballa comme une cymbale symbolique un jour de saint bal de Toussaint au balcon.

Il avait raté son coup mais sauvé son cou qui avait failli finir sans glotte, ce qui le fit sangloter. Dévasté par ce vaste complot, il fut admis à l’hôpital après une soi-disant tentative tant hâtive de suicide, mais qui était en réalité une attaque d’apoplexie perplexe. Il fut transféré dans un hospice servi par une domestique, où l’on lui découvrit une rare maladie qui fait que l’os pisse. Pour l’ôter on le soigne au thé qu’il adore et quand il dort il se fait dorloter, ce qui est bon pour la santé en théorie, même sans thé au riz, vos longs thés étant volontiers une question de volonté. Il boit ses six thés par jour, mais un matin il voit malgré sa cécité arriver la bonne sans thé et en fait une maladie. Flottant dans son anorak trop grand car souffrant d’anorexie, son apraxie pas pratique le handicapait induisant une aprosexie pas très sexy.

Cet as de la scie et maître de Lassy s’asphyxie en 1519 avec une framboise à Amboise, le 6 mai décimé par le chagrin, aigri de perdre son chat gris. Je tiens ces dernières informations informes et informelles par mail de sa sœur Sidonie, résidant à St Denis qui s’adonna aussi à la scie, fière de faire comme son frère, et qui adopta Lassy. A la mort par varicelle de celle-ci, devenue maigre comme une ficelle, elle fit celle qui voulait rester fille seule mais tellement lacérée par un ulcère à la serrer (Lassy) dans ses bras qui dansaient bas sur ses bas de laine de reine de Sabah, elle s’ébat de ce qu’elle sait tout bas sur le tuba. Pour clore ce débat, elle finit par vendre la scierie pour partir en Syrie dans une aciérie nassériste naze non loin de Nazareth et meurt par euthanasie dans cet état nazi, après avoir fait avec les cendres de Vinci un moulage d’une énorme scie qui trône sur sa tombe : c’est ainsi que Léonard devint scie ! 

Voilà, chers lecteurs, le fin mot de l’histoire. Lorsque vous entendrez un petit comique vous ressortir cette blague éculée que c’est à force de scier que Léonard devint scie, vous saurez quoi répondre. J’espère qu’au lieu de la jeter comme une banale histoire de scie à benner, elle bénéficie à Vinci et sa mémoire et va bene. Et que mon mémoire provoque l’ivresse livresque, même d’un trait laid très lettré, et vous donne aussi à vous l’envie de scier et de faire scier votre entourage !

 

 

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